Comme nous, tu t’es peut-être demandé comment changer de mode de vie… Tous les jours le même trajet, le même bureau, le même café… L’attente d’obtenir ses prochaines vacances, justifier son prochain voyage, se dire que le mercredi on a fait la moitié de la semaine… Pour palier à ça, une solution apparait pour concilier travail et liberté : gagner sa vie sur Internet. Mais comment ?
Nous allons voir ensemble 5 techniques que nous avons testées pour gagner nos tous premiers euros sur le Web et nous permettre de voyager plus.
Sommaire
- L’heure du bilan
- Tout quitter pour partir en tour du monde
- 5 façons de commencer à gagner ta vie sur Internet et nos tout premiers résultats
- Comment trouver tes premiers clients en tant que freelance sur Internet ?
- Diversifier tes sources de revenus
- Passer à l’action
- Pour aller plus loin
L’heure du bilan
Après avoir passé le cap des 4 ans dans nos boulots, et cela de l’autre côté de l’Atlantique, un bilan s’imposait : j’étais partie en PVT (Permis Vacances Travail) au Canada. Seulement, je n’avais jamais eu l’occasion de profiter du « V » de « Vacances »…
Eh oui, j’avais trouvé un travail salarié en tant que designer graphique quelques jours après mon arrivée à Montréal. Mumu, de son côté, avait été embauchée par son entreprise suite à son stage de fin d’études en marketing.
Finalement, nos explorations du Canada étaient limitées à quelques jours de vacances par an par-ci par-là. Et en étant expatrié, tu consacres plus de la moitié de ces jours à ton retour en terre natale, pour voir la famille et les amis.
Bref, et si ce modèle pouvait changer ?
Et si Internet nous permettait d’aller plus loin, de travailler sur les routes ?
Mais comment gagner suffisamment d’argent pour financer ce voyage ?
Comment gagner sa vie en vivant à l’autre bout du monde ?
Toutes ces questions ont commencé à tourner en rond dans nos têtes pour trouver des solutions.
Essayons de voir ensemble comment notre expérience peut t’inspirer pour gagner tes premiers euros grâce au Web !
(Attention, tout ce qu’on va voir prend du temps et de l’énergie, cela ne se fait pas en un claquement de doigts !).
Tout quitter pour partir en tour du monde
La prise de conscience
Quand on s’est rencontrées quelques années plus tôt, Mumu m’avait dit : « Je veux partir en tour du monde avant mes trente ans ».
Cette petite phrase a continué de me trotter dans la tête pendant 3 ans.
Comment tout quitter pour partir autour du globe ?
J’ai retourné le problème dans tous les sens jusqu’à la date de la décision.
Peu avant ses trente ans, nous avons pris notre premier avion pour la Thaïlande, puis pour la Birmanie. C’était nos premiers pas pour un voyage de 14 mois autour du monde.
Mais comment financer ce voyage ?
Pour commencer, Mumu a posé un congé sabbatique et moi j’ai tout simplement démissionné.
Au Canada, il n’existe aucune aide du type rupture conventionnelle ou autre.
C’était un départ sans parachute de mon côté.
Mais j’avais une idée derrière la tête !
Elle devrait t’intéresser 🙂
Premiers pas en tant que digital nomad
En fait, je suis devenue une digital nomad sans le savoir !
J’avais déjà travaillé à distance sur des mandats en graphisme pour des clients en étant à Montréal et eux en France. À ce moment-là, je n’avais pas encore saisi l’opportunité que cela représentait.
Jusqu’au jour où j’ai découvert des sites qui permettaient de trouver des clients partout dans le monde !
Je te donnerai un peu plus loin mon avis sur ces plateformes. Mais cela m’a permis de réaliser que je pouvais littéralement partir à l’autre bout du monde et gagner ma vie quand même ! Et tout cela grâce à Internet (et des compétences !).
5 façons de commencer à gagner sa vie sur Internet et nos tout premiers résultats
1 – Le moyen le plus efficace de gagner sa vie rapidement grâce à Internet : devenir freelance
Si tu comptes utiliser Internet comme outil pour gagner ta vie, il y a énormément de manières d’y arriver. Mais l’une des plus efficaces à court terme est d’offrir tes services et de devenir freelance.
Pourquoi ? Car tu n’as besoin de réaliser qu’un seul mandat pour gagner quelques centaines, voir milliers d’euros. Et si tu t’occupes bien de ton client, qu’il te fait confiance, que tu l’aides, il deviendra un partenaire à long terme.
Tu n’auras donc pas besoin de t’épuiser en développement d’affaires.
Entre nous, si tu es un créateur, ce n’est pas forcément la partie que tu préfères.
Je t’explique un peu plus bas comment j’ai trouvé mes premiers clients sur Internet et ailleurs 🙂
Et si tu veux te lancer en tant que freelance, ou encore, booster ton activité de créateur, j’ai écrit un guide gratuit de 50 pages pour te permettre de travailler sur des projets que tu aimes avec des clients qui te respectent.
2 – La vente de t-shirts et autres produits dérivés
Si tu vends des produits, des livres, des t-shirts, tu auras besoin de convaincre plus de clients d’acheter tes produits. En plus, s’il s’agit de produits physiques, tes marges seront réduites.
Nous avons essayé de vendre quelques produits dérivés de notre série Les petits aventuriers. Cela nous permettait de réinvestir l’argent dans la production des épisodes.
Les marges sur un t-shirt étaient de 3 $. Il fallait donc vendre plus de 330 t-shirts pour espérer atteindre 1000 euros de bénéfices. Ce qui finançait un cinquième d’un épisode !
Alors qu’il ne me fallait qu’un client pour atteindre ce niveau de revenus.
Pour que ce modèle fonctionne, tu as besoin d’une grande audience et beaucoup de clients.
Et dans notre cas, on a vendu très peu de produits. On aurait pu développer une stratégie, mais cela ne faisait pas partie de nos priorités. On a préféré se concentrer sur le développement de nos projets.
L’avantage dans ce type d’approche est que lorsque la machine est lancée, tu n’as plus à recréer ton t-shirt.
Mais en réalité, c’est un peu plus compliqué que ça ; car les clients aiment la nouveauté, il faut constamment augmenter son trafic.
Vanessa de Fotofibre explique bien cette problématique dans cet article.
Nous avions utilisé Shopify et Printful pour mettre nos produits en vente sans avoir à gérer de stock et avoir une boutique en ligne sécurisée.
3 – Le financement participatif
Dans le cadre de la série Les petits aventuriers, nous avons ouvert un compte Tipeee. Cela permet à nos abonnés de nous verser un pourboire de manière régulière ou ponctuelle.
Le projet étant à vocation pédagogique et gratuit, nous avons proposé à la communauté de nous soutenir grâce au principe du financement participatif. En effet, les épisodes sont financés sur nos deniers personnels.
Il existe plusieurs formes de financement participatif, ou crowdfunding. Tipeee n’a pas de limite dans le temps ou de palier à atteindre, contrairement aux campagnes Indigogo, Ulule ou KissKissBankBank.
Tipeee ou Utip permettent d’avoir une base de revenus à quelques créateurs. Il faut cependant une audience fidèle, de grande envergure et très engagée dans votre projet.
Nous avons gagné quelques centaines d’euros grâce à ce système, nous offrions des bonus en contre-partie à nos « tipeurs » (tip signifie pourboire en anglais).
Si tu comptes financer un tour du monde grâce à une campagne de financement participatif, accroche-toi et prépare-toi !
Pour avoir accompagné des porteurs de projets en réalisant leur visuels de campagnes et en les accompagnant dans leur communication, j’ai pu avoir un regard réaliste sur le sujet.
Il te faut un excellent réseau, une stratégie de communication en béton, être prêt à dormir très peu pendant 30 jours et avoir les nerfs solides.
Si tu n’atteins pas le premier palier, tu n’auras pas le financement. Il ne faut donc pas être gourmand, prendre en considération le coût des contreparties, les frais de la plateforme, les frais d’expédition, etc.
Tu l’auras compris, cela demande du travail et pas mal de compétences. Fais-toi entourer si tu te lances dans une telle aventure !
4 – La publicité, une fausse bonne idée
En partant en voyage et en créant notre tout premier blog, nous avions pensé à la publicité, sans trop connaître le sujet. Mais en me renseignant davantage sur cette possibilité, je me suis vite aperçue du problème.
- Tu es dépendant des régies publicitaires qui déterminent les tarifs.
- D’ailleurs, sur YouTube, beaucoup de créateurs subissent les décisions arbitraires de la plateforme. Elle décide quels contenus sont monétisables ou non.
- Tu n’as pas le contrôle sur les messages publicitaires de ton site et cela nuit à l’expérience des utilisateurs.
- Tu peux te retrouver avec des publicités de sectes ou autres annonceurs suspects.
- Il faut énormément de visites ou de vues pour espérer gagner quelques centimes. Nous n’avons d’ailleurs pas activé les publicités sur notre blog. Par contre, nous l’avons fait sur YouTube. Cela me permet de te donner un exemple de revenus.
Pour te donner une idée, avec notre chaîne YouTube Voyage en roue libre, nous avons gagné 277,63 $ pour 266 846 vues, sur les 90 derniers jours.
Par contre, sur YouTube, il semblerait qu’activer la publicité permette d’être davantage mis en avant sur la plateforme. La plateforme nous jure que cela n’a pas d’impact.
Est-ce un mythe ? Aucune idée.
Par contre, notre chaîne a explosé quelques jours après l’activation de la monétisation. Hasard ?
5 – L’affiliation, plus avantageuse que la publicité
Qu’est-ce que l’affiliation ?
L’affiliation est une forme de recommandation rémunératrice. C’est un peu comme les réunions Tupperware, où l’hôte gagne un petit pourcentage de la vente des produits. Tu joues le rôle d’apporteur d’affaires, sauf que sur ton site, cela prend la forme d’un lien.
L’avantage, si tu es respectueux de tes lecteurs, c’est que tu ne recommandes que des produits que tu aimes et que tu as testés.
Comment devenir un affilié
Tu peux t’inscrire sur différentes plateformes, ou directement entrer en contact avec des marques qui proposent des programmes d’affiliation.
Pour vérifier si une marque que tu apprécies et que tu recommandes naturellement propose ce type de programme, il suffit de taper le nom de la marque et « affiliation » ou « affiliate ». Tu peux aussi les contacter directement.
Voici quelques plateformes qui te permettent d’accéder à plusieurs programmes d’affiliation :
- Awin ;
- Tradedoubler ;
- Affilae ;
- Amazon.
Tes gains vont dépendre du prix du produit et du pourcentage de la commission.
Les limites de l’affiliation
De la même manière que la publicité, l’affiliation demande d’avoir un certain trafic sur ton blog ou ta chaîne YouTube pour que cela te permette d’en vivre.
Pour te donner une idée, nous avons gagné 53,56 $ avec le programme d’Amazon depuis le début de l’année et 38,79 $ avec le programme d’Adobe.
Cela nous permet de financer le serveur du blog !
Ce qui reste le plus accessible et le plus rapide pour gagner sa vie grâce à Internet, c’est donc de proposer ses services et de devenir freelance.
Comment trouver ses premiers clients en tant que freelance sur Internet
Comment j’ai gagné mes premiers 379 $ sur le Web ?
Avant de partir en tour du monde, j’avais déjà rempli des missions à distance, comme je l’expliquais plus haut, à côté de mon emploi.
Puis, j’ai découvert des plateformes de « crowdsourcing » ou encore appelées « marketplace ». C’est un peu comme Airbnb, mais pour les freelances.
Le principe des plateformes pour freelances
Ce sont des sites web qui permettent de mettre en relation des clients et des fournisseurs de services. Ces sites font leurs bénéfices en prenant une commission sur la prestation ou en vendant un abonnement pour l’accès à la plateforme.
Le principe est de te créer un profil sur le site, d’indiquer tes compétences, d’ajouter des images de ton portfolio, puis de répondre à des offres de clients.
Attention, si tu utilises ce type de plateforme, n’accepte jamais de fournir de maquette, de créer de logo ou quoi que ce soit gratuitement, pour que le client fasse son choix ensuite parmi toutes les propositions. Cela n’a que des effets pervers.
Ceux-ci font des appels d’offres, puis des centaines de freelances postulent sur la même annonce.
Une première approche enthousiaste
J’ai décidé de tester ces plateformes avec beaucoup de naïveté.
À l’époque, mon approche était celle de la plupart des freelances.
Si tu es un créateur, il y a peu de chance que tu sois formé pour te préparer à bien gérer tes clients, à les choisir (j’ai bien dit choisir), à te positionner comme LA personne de référence pour les projets qui te font triper.
Pourtant c’est essentiel. Je t’en parle plus en détail dans notre guide gratuit.
Bref, je m’inscris et je commence à répondre à toutes les offres que je vois passer, j’essaie de faire le tri.
Mais cette plateforme est addictive, tu reçois des notifications de demandes de devis apparaître toutes les 5 secondes sur ton écran. Tu vois tellement d’opportunités. Cela semble être le lieu rêvé pour un freelance.
Mais tu es loin d’être le seul !
Les limites de ces plateformes
Pour avoir un maximum de chance d’obtenir tes contrats, la plateforme joue sur la réputation que tu t’y construis. Tu dois avoir beaucoup d’avis positifs et donc avoir un maximum de contrats sur le site.
Évidemment, la concurrence peut vite être imbattable en matière de tarifs.
Tu es en concurrence avec des freelances du monde entier. Tu es poussé à accepter des conditions qui ne sont pas viables et ton client ne te connaît pas.
Conséquence : il ne te fait pas confiance. Et dans une activité de consultant, c’est essentiel.
Et s’il y a bien une chose que tu ne dois pas faire, c’est te vendre au rabais… Et je l’ai fait. Mais j’ai très vite arrêté !
Tes clients les plus difficiles sont ceux qui te paient le moins. Ils ont aussi une grande capacité à te dégoûter de ta profession.
C’est une formule scientifique prouvée au moins par Einstein…
Les premiers résultats
Finalement, j’ai décroché 4 contrats grâce à ce type de plateformes. Les deux premiers m’ont rapporté 379 $ sur les deux premiers mois. Ce n’est pas avec ça que j’allais remplacer mon salaire !
Bref, j’ai vite compris que ce type d’approche ne serait pas viable et serait très chronophage. Rédiger 25 devis par semaine pour décrocher un contrat mal payé, c’est loin d’être la meilleure formule !
Finalement, aujourd’hui, je n’ai besoin que de 2 à 3 clients par mois pour mieux gagner ma vie qu’en agence, et tout ça, en travaillant moins !
Eh oui ! J’ai mes week-ends et mes soirées ! Ce mythe sur les freelances qui travaillent 70 h par semaine n’est pas une fatalité.
En plus, j’ai du temps pour m’occuper correctement de mes clients et faire un travail de qualité pour eux.
Même si je ne te recommande pas cette approche, rien ne vaut que d’essayer par soi-même.
Personnellement, j’ai essayé Elance (maintenant appelé UpWork), Freelancer et pige.quebec. Il existe aussi, 5euros, Fiverr, 99design, Malt.
Tu pourras peut-être débusquer de bons clients. Mais ne mets pas toute ton énergie sur ces plateformes.
Par ailleurs, fais attention, certaines sont plus respectueuses que d’autres sur les conditions des freelances. Je pense rédiger un comparatif sur ces plateformes. Dis-moi en commentaire si cela t’intéresse.
Voyons maintenant comment développer ta clientèle, sans plateforme.
Développer sa clientèle à distance grâce à son réseau
Il y a de nombreuses approches pour trouver des clients. La première est de s’associer à des partenaires. Être recommandé par quelqu’un est extrêmement puissant.
Ton client potentiel te fait déjà confiance s’il te contacte. Dans 80 % des cas, il signera ton devis (contre dans 5 % des cas si tu prospectes).
Tes partenaires peuvent faire partie de tes proches, mais aussi être des confrères, des personnes dans un domaine connexe, des blogueurs.
C’est ainsi que j’ai rencontré par Skype des clients de long terme que je ne connaissais pas avant. Il m’aura fallu deux ans de travail avec eux avant de les rencontrer dans le monde réel.
Développe ta présence en ligne
Il est aussi extrêmement important de développer sa présence en ligne, mais de manière intelligente. Il ne suffit pas de mettre son portfolio. Tu dois expliquer comment tu résous les problèmes de tes clients, faire des études de cas.
Avec cette approche, ton client potentiel déterminera si tu peux l’aider et commencera à te faire confiance.
Tu peux aussi créer un projet personnel fort autour duquel tu communiqueras. Ce projet doit pouvoir toucher tes partenaires ou intéresser les clients avec qui tu aimerais travailler, par exemple.
Je t’en parle plus en détails dans le guide « Booster ton activité de créateur freelance ».
Aujourd’hui, 80 % de mes clients sont à plus de 6000 km de moi. Je peux donc travailler d’où je veux dans le monde !
Pendant notre voyage de 14 mois, j’ai fait énormément d’erreurs, que j’aimerais vraiment que tu évites. Mes gains n’ont pas suffit à couvrir toutes les dépenses (on était aussi parties dans l’idée de se faire plaisir !).
Mais depuis, en adoptant une nouvelle approche, je ne subis plus mes clients : je travaille uniquement sur des projets qui sont alignés avec mes valeurs et des clients que j’adore.
D’ailleurs, on s’apprête à reprendre la route à bord de notre bus, qui deviendra un studio de création (et ciné-bus) !
Diversifier ses sources de revenus : indispensable quand on est freelance
Nous avons pris le parti de ne pas gagner notre vie en étant tributaires d’un seul type de revenu. Premièrement, parce que nous adorons explorer le monde, mais aussi les nouvelles approches.
Deuxièmement, parce qu’être freelance, c’est aussi vivre avec la variation des revenus. Certains mois peuvent être extraordinaires et d’autres plus calmes. Avec des clients de long terme, on peut adoucir ces extrêmes.
Cependant, avoir d’autres sources de revenus permet de niveler le tout, mais aussi de s’ajuster.
Par exemple, en ne vivant que de la publicité, tu prends un risque non calculé : si les régies publicitaires décident de réduire tes revenus, tu peux te retrouver avec – 50 % sur tes revenus. On a vu le résultat avec les changements d’algorithme de YouTube en 2016, beaucoup de vidéastes ont été pris de court.
Si tu ne vis que d’affiliation et que ton site est mis hors ligne ou que Google le désindexe, tu perds aussi tes revenus.
Si un de tes clients de long terme quitte ton entreprise, tu perds des revenus conséquents…
Donc développer plusieurs type de revenus peut t’aider à ne pas dépendre d’un seul système.
Passer à l’action !
Il faut comprendre qu’Internet est un outil et c’est à toi de l’exploiter pour qu’il puisse t’aider et amplifier ton impact.
C’est comme un crayon, c’est la main qui le tient qui peut dessiner un chef d’oeuvre ou un gribouillage.
Internet est un espace rude par sa concurrence, mais aussi un excellent moyen de développer ton activité.
Le plus important, c’est d’essayer, de te lancer et de te former. Comme tu as pu le voir, nous avons fait des erreurs, mais ça veut aussi dire qu’on est passées à l’action. Et ceci fait toute la différence !
Pour aller plus loin
Un condensé de conseils pour te lancer
Si tu souhaites devenir un créateur nomade, travailler sur des projets que tu aimes et sans stress avec tes clients, nous te proposons de lire notre guide de 50 pages pour bien démarrer et booster ton activité de créateur freelance !
Découvrir d’autres histoires inspirantes de créateurs nomades
Tu as envie toi aussi de te lancer ? Tu aimerais découvrir d’autres créateurs nomades inspirants ? Retrouve tous les portraits et conseils ici, et tu peux les écouter sur iTunes, Spotify , Deezer ou Google podcast et bien d’autres plateformes !
Rejoins la communauté
Tu peux rejoindre la communauté des créateurs nomades sur Facebook, pour parler du projet que tu aimerais mener, poser tes questions, trouver des réponses. On te demandera juste de répondre à quelques questions pour nous assurer de la qualité du groupe. 🙂
Cet article participe à l’évènement “Comment j’ai gagné mes premiers euros sur Internet et comment vous pouvez le faire aussi” du blog Blogueur Pro.
Découvre d’ailleurs l’interview qu’il a mené de Tim Ferris, l’auteur du fameux livre la semaine de 4 heures.
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Laura dit
Top cet article et votre partage d’expérience ! 🙂 Et complètement d’accord avec le fait que le meilleur moyen de commencer, c’est de vendre ses services en freelance (même si ça fait souvent moins rêver que d’avoir un business en « automatique »).
Enora dit
Merci pour votre partage d’expérience, c’est très intéressant et hyper complet ! Je suis entièrement d’accord avec le fait qu’il est important de diversifier ses sources de revenus pour s’assurer une meilleure stabilité et sécuriser ses entrées d’argent. Après il n’y a pas de secret ni de recette miracle, tout ça demande du travail mais ça en vaut le coup. ☺
Clem et Mumu dit
Oh oui c’est du travail ! Le plus dur est de lancer la machine et de garder le rythme ! 🙂
Johanna et Gabriel - objectif-vie-en-van.com dit
Vraiment très inspirant comme retour d’expérience, merci !
Avec Johanna, on vient de découvrir votre blog (on se suit déjà sur Pinterest, Instagram et Cie). Et c’est une vraie mine d’or pour nous.
Cela fait maintenant plusieurs mois qu’on cherche à diversifier nos revenus pour devenir digital nomad à 100% et vivre à l’année dans Hermès (notre fourgon aménagé).
Pour le moment, Johanna est en CDD et à donc un salaire fixe.
De mon côté, je suis développeur web. J’ai reçu ma première mission en Janvier dernier grâce à la plateforme de freelance Malt.
C’est une cliente qui a tellement été satisfaite de mon travail que depuis deux mois, elle revient une à deux fois par semaine pour me reproposer de nouvelles missions.
Cela dit, ce ne sont pas de gros projets (200€ en moyenne). Mais sur le mois, ça me permet de générer entre 800 et 1 600€ de CA.
A côté nous avons un blog / une chaîne YouTube / des réseaux sociaux sur la vie en van et le nomadisme digital que nous tentons d’alimenter régulièrement.
Clem et Mumu dit
Merci de votre message ! On est bien contentes que cet article vous ait plu.
N’hésitez pas à suivre le Sommet des Créateurs Nomades la semaine prochaine, le sujet devrait vous parler : https://createursnomades.com/sommet/