Tu rêves de te lancer à ton compte en tant que photographe pro ? Mais tu n’as pas fait d’études dans ce domaine. Tu rêves pourtant d’une reconversion créative. Tu as peur de te lancer parce que tu ne sais pas par où commencer.
Et comment te démarquer face à la concurrence ? Autant de questions qui envahissent ton esprit et t’empêchent d’aller plus loin dans ton projet de devenir photographe…
Ça tombe bien, car nous avons interviewé Alice Gondelle, une amie que nous avons aidée à se lancer . On te raconte son histoire et comment elle est passée de photographe amateur à photographe pro. En 2020, juste après avoir démarré son activité, elle avait déjà plus de 14 mariages signés ! Alors que, 18 mois seulement auparavant, elle n’avait jamais parlé à un client…
Qu’est devenue Alice ? Son activité est-elle toujours une réussite ? Quelles leçons retire-t-elle de son expérience de photographe freelance ?
Elle nous confie ses ressentis et ses réflexions sur le métier et livre d’excellents conseils à ceux qui voudraient, eux aussi, se lancer !
Cette vidéo a été réalisée en 2023 et est une mise à jour du podcast tourné en 2020.
Les créateurs nomades : le podcast
Bienvenue dans la série d’articles et de podcasts sur les créateurs nomades. Notre objectif est de partager avec toi l’histoire de créateurs qui exercent leur métier sur les routes ; qu’ils soient photographes, illustrateurs, développeurs, musiciens, graphistes, vidéastes ou troubadours !
Tu peux écouter l’interview d’Alice sur notre podcast ici :
Découvre ici leur interview sur notre podcast : les créateurs nomades . Abonne-toi sur iTunes , Spotify, Deezer ou Google podcast ! Tu pourras écouter leur histoire dans le métro, sur la plage, au marché ou dans ton van !
Devenir photographe pro
Alice est notre première « beta-testeuse » du Campus des Créateurs Nomades. C’est elle qui nous a donné le déclic. Frustrée ne pas la voir mettre son talent au service de clients qui ne demandent que ça, Clem l’a soutenue pendant tout ce processus.
Elle est maintenant photographe freelance, basée en Bretagne, mais a la liberté de se déplacer pour exécuter des contrats photo où elle le souhaite.
Une idée qui fait doucement son chemin
Nous avons rencontrée Alice au Québec, il y a 12 ans, lorsqu’elle était en PVT à Montréal. À l’époque, elle rêvait déjà d’être photographe.
Nous avons rapidement sympathisé. À ce moment-là, Alice n’était pas encore photographe, elle était éducatrice.
Éducatrice, c’était déjà le métier qu’elle avait à Paris avant de partir. Mais l’envie de voyager, de s’évader, de sortir de sa routine l’a poussée à partir en PVT pour le Québec. Elle a rapidement trouvé un travail dans sa branche.
Mais elle ne se sentait toujours pas épanouie dans son activité. Alice a alors décidé de se tourner vers la photo.
Il faut savoir qu’Alice s’intéresse à la photo depuis qu’elle a 12 ans, elle a d’ailleurs eu son premier appareil à 15 ans. Mais elle n’avait jamais osé se mettre à la photo sérieusement avant, elle ne se sentait pas légitime, elle manquait de confiance en elle.
Est-ce l’atmosphère créative de Montréal ou la découverte d’un nouveau pays ? Alice a alors pris la décision de se former en photo en suivant des cours du soir pendant 6 mois, en plus de son travail.
Son objectif était de se perfectionner en photo, mais aussi d’acquérir un peu de légitimité si jamais un jour elle se lançait à son compte comme photographe.
Parallèlement, Alice prenait beaucoup de temps pour photographier ses voyages, mais aussi les scènes de la vie quotidienne.
C’est aussi à cette période que l’idée de se lancer en tant que photographe a pointé le bout de son nez.
Mais son manque de confiance en elle l’a finalement rattrapée. Son PVT s’est terminé et Alice est rentrée en France.
Les 1000 et 1 peurs de se lancer en freelance quand on est un créatif
Le syndrome de l’imposteur
Est-ce que je vais y arriver ? «
Est-ce que je suis une assez bonne photographe ? »
Malgré tout, ces questions revenaient sans cesse dans la tête d’Alice. Elle avait du mal à voir la valeur qu’elle pouvait apporter.
Il y a tellement de photographes, il y a tellement d’artistes…que je ne trouvais pas ma place. Je ne savais pas quel rôle je pouvais avoir, qu’est-ce que je pouvais apporter de plus »
Alice ne se sentait pas légitime face aux nombreux photographes exerçant déjà dans la région.
Le manque de connaissances entrepreneuriales
Elle ne savait pas non plus par où commencer : comment démarrer son activité de freelance ? Quelle structure juridique adopter ? Quelles étaient les étapes administratives à franchir ? Comment trouver des clients ?
Je n’avais aucune notion administrative, tout ce qui entoure le métier, tout ce qui est aspect juridique…ça m’effrayait… »
La peur de ne pas gagner sa vie correctement en tant que Créateur
Les discours des gens… que ce soit des professionnels ou pas – me freinaient pas mal… »
Alice entendait beaucoup autour d’elle qu’il était extrêmement difficile de gagner sa vie dans un métier de Créateur.
Aujourd’hui, elle regrette d’avoir perdu plusieurs années à les écouter.
Malheureusement, ce type de message est récurrent. Et les gens sont même étonnés qu’on puisse bien gagner sa vie avec une activité créative.
Si tu lis cet article, rassure-toi ! Par exemple, nous (Clem et Mumu) vivons très bien de notre activité de freelance à travers différents services créatifs : vidéo, direction artistique, graphisme, illustration, rédaction et blogging.
Bref, c’est possible pour toi aussi !
Clem a d’ailleurs écrit un ebook gratuit qui partage ses meilleurs conseils pour démarrer ton activité de créateur freelance
Oser se lancer et devenir photographe freelance
Le déclic
Chez Alice, malgré son envie, la peur de se lancer restait la plus forte ! De notre côté, on la revoyait régulièrement lors de nos passages en France. Et comme à chaque fois, la discussion dérivait sur ce sujet.
Finalement, en septembre 2018, Clem convainc Alice de se lancer !
Sans ton discours, j’y serais toujours. Je serais toujours à me dire que je me lancerais un jour »
Clem a su trouver les mots justes pour expliquer à Alice qu’il n’y aurait jamais de moment parfait, qu’il fallait arrêter de se poser trop de questions et qu’il fallait passer à l’action.
Cela a été l’élément déclencheur : en l’espace d’un après-midi, Alice – en suivant les conseils de Clem – a commencé à travailler sa présence sur les réseaux sociaux, son image, ses premières photos à diffuser, etc.
La machine était lancée !
Un accompagnement à distance
Cette distance-là ne s’est pas ressentie parce que tu m’as fait comprendre que tu étais malgré tout là pour m’accompagner si j’avais besoin. »
Clem est repartie à Montréal, mais a continué d’accompagner Alice pour qu’elle développe son activité de photographe.
Tu as posé pas mal de questions sur mes envies, mon projet, donc ça c’était rassurant, parce que, du coup, tu cernais un petit peu tout ça, mon travail. Tu as su répondre de façon bien spécifique à mes questions, que ce soit dans la création ou dans l’aspect administratif. »
Inconsciemment, Alice hésitait à se lancer dans les démarches administratives. Elle essayait de retarder encore le lancement de son activité…
Mais finalement, Clem a réussi à débloquer Alice à distance, qui s’est vraiment lancée dans le grand bain !
J’avais besoin d’un mentor… »
Clem lui a toujours conseillé de foncer en l’orientant sur les éléments essentiels au bon développement d’une carrière de créateur. Ainsi, il fallait qu’Alice se concentre sur son objectif : trouver des clients et se constituer un réseau pour son projet.
En effet, il ne faut pas se freiner à cause de l’administratif : c’est hélas, un gros point noir incontournable au début. Mais il suffit de l’affronter une bonne fois pour toutes pour avoir le champ libre ! C’est d’ailleurs ce qui nous a poussées par la suite à créer la formation du Campus des Créateurs Nomades : pour aider tous les créatifs à vivre de leur passion et devenir freelances.
Les compétences techniques
Avant de se lancer, Alice regardait tuto sur tuto photo pour se former en photographie, car elle ne se jugeait pas assez bonne.
« J’ai l’impression de n’être jamais prête, mais pour autant, je le suis… Je prends confiance en moi et j’ai conscience de mes compétences. Sinon, je n’oserai pas de toute façon, proposer mon accompagnement, ou mon travail aux gens. »
Elle en est aujourd’hui convaincue : l’expérience, on se la fait sur le terrain. Oui, bien sûr, il est nécessaire d’avoir les bases, mais rien de tel que la pratique pour se perfectionner. Il ne faut pas que ça t’empêche de te lancer, parce que tu ne te sentiras jamais prêt !
L’importance de se former en continu
Depuis qu’elle est photographe, Alice n’a pas cessé de visionner des tutoriels photo, loin de là !
En effet, il est essentiel de se former en continu quand on est un créateur. Par exemple, même si on a plusieurs années d’expérience en freelance, on accorde au moins 5 à 10 h par semaine à nous former.
Mais, en osant se lancer, Alice a compris qu’il est possible d’apprendre et de progresser tout en développant son activité. Au gré des contrats, tu apprends de nouvelles méthodes de travail, astuces, etc..
Par exemple, lors de son premier mariage, Alice a commencé à prendre toutes ses photos en mode manuel, car elle pensait que tous les photographes professionnels travaillaient sur ce mode.
Mais, elle s’est vite rendu compte que ce n’était pas le plus important.
Il vaut mieux bien contrôler son appareil et surtout se concentrer sur les émotions que l’on veut faire transparaître.
Alice est devienue de plus en plus à l’aise avec les clients au fur et à mesure des contrats.
L’aisance est très importante dans le métier de photographe de mariage, mais aucun tutoriel ne peut lui apprendre ça.
L’expérience du terrain est donc indispensable.
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Son processus de travail de Photographe de mariage
Le premier mariage d’Alice l’a complètement confortée dans son choix de sujet, au départ (tu verras par la suite !) : photo-reportage, clients très nature et clichés spontanés. Pile ce qui lui plait dans son travail !
C’est la clientèle que je voulais ! »
Dans son travail, Alice privilégie les échanges avec les mariés avant le Jour J. Cela met tout le monde à l’aise et la confiance s’installe, ce qui facilite la prise de photo le Jour J.
Tout se crée avant le mariage… »
Ainsi, en comprenant et en connaissant ses clients, Alice peut plus facilement intégrer leur univers.
Il faut une certaine complicité avec les clients. »
Alice ne veut pas être une simple prestataire – et elle a raison ! C’est selon elle primordial de bien comprendre ses clients pour faire de bonnes photos d’un jour si important de leur vie. Une seule fois, elle a accepté un contrat de dernière minute, qui ne lui avait pas laissé le temps de rencontrer les futurs mariés. Résultat : elle a commencé à photographier un autre mariage ! Et elle a senti une différence en couvrant celui de ses clients. Plus jamais !
De même, depuis le début, Alice ne fait pas poser ses clients ,ou alors très peu. Elle privilégie une approche style reportage pour obtenir un résultat très naturel dans ses photos et capturer des moments d’émotions authentiques.
J’aime l’humain, j’aime les liens. »
Honnête dans sa démarche, elle a fait le choix, avec l’expérience, d’assumer son style auprès de ses potentiels clients : ce qu’elle aime, dans le mariage, ce n’est pas le côté traditionnel ou religieux. C’est l’évènement en lui-même, les liens entre les personnes rassemblées en cette occasion unique et l’amour qui se dégage de cette journée.
Et pourquoi pas photographe underwater ?
Il y a quelques temps, Alice s’est senti attirée vers une autre spécialisation : la photo aquatique, ou photo underwater.
Le déclic lui est venu de notre blog, dans lequel son témoignage apparaît, ainsi que ceux de deux autres photographes : Sandrine Chiarena, photographe de montagne, et Camille Hernandez, photographe underwater à Tahiti.
Bien sûr, elle adore toujours la photo de mariage, mais devait-elle pour autant ne faire que ça, alors que d’autres spécialités lui donnaient envie ? La photographie underwater, en particulier, réveillait en elle la flamme.
C’est décidé, elle contacte aussitôt Alison Bounce, dont elle admire le travail, et suit une formation à ses côtés. Une casquette supplémentaire dont Alice est très fière !
Une preuve de plus que se spécialiser, ce n’est pas s’enfermer !
Comment trouver des clients en tant que photographe freelance ?
Assurer sa visibilité
Alice a commencé par contacter un photographe qu’elle connaissait un petit peu. Ce photographe lui a donné l’opportunité de l’accompagner sur un de ses mariages.
Elle a ainsi pu avoir ses premières photos de mariage, ce qui lui a permis de les diffuser sur Facebook et Instagram. Son site n’était même pas encore en ligne.
Ces photos ont capté l’attention de deux personnes qui ont contacté Alice pour lui demander de photographier leur mariage.
Aujourd’hui, Alice concentre sa communication sur son site et sur Instagram, même si elle avoue manquer de régularité dans ses publications. Pinterest l’intéresse aussi – et elle aurait bien raison car ce réseau peut attirer un trafic ciblé sur son site web, sans qu’elle ait forcément besoin d’y consacrer beaucoup de temps. Mais comme elle n’en a pas besoin en ce moment, ce n’est pas sa priorité.
Rencontrer ses clients
Avant la première rencontre avec ses clients, Alice était très mal à l’aise, ses angoisses, ses hésitations qui l’avaient bloquée pendant des années ont refait surface !
Finalement, la rencontre a eu lieu, s’est vraiment bien passée et les clients ont fait confiance à Alice de A à Z.
Elle a pu expliquer comment elle travaillait.
Une fois lancée, c’était comme si elle avait toujours su quoi dire ou quoi faire.
C’est étonnant parce que c’est comme inné, comme si je savais ce que je devais faire alors que c’était mon vrai premier mariage. »
Vivre son premier contrat de photographe
Wow ! C’était enfin mon truc, quoi ! Je suis rentrée, j’en avais les larmes aux yeux dans la voiture, j’ai mis la musique à fond et je me suis dit : wahhh, j’ai fait un truc que j’aime faire… «
Le mariage s’est vraiment déroulé comme elle l’avait rêvé, sans accroc : de la rencontre des mariés, à la prise de vue, aux retouches photo, à la livraison des photos, Alice a adoré l’expérience, car au fond, c’est ce qu’elle avait toujours voulu faire.
Quand tu fais tout ce que tu aimes faire et que tu vois que ça marche et ça te plaît, c’est…tu n’as plus envie d’arrêter, ça te confirme que c’est vraiment ton truc… »
Il suffit d’une première mission réussie pour prendre confiance pour les suivantes ! Le tout, c’est de se lancer ! Tu te sens ensuite plus légitime auprès de tes clients potentiels, et ça se ressent immédiatement lors des prises de contact.
Mon premier mariage, c’était une révélation. »
Malgré son manque de confiance en elle, Alice a su passer au-dessus de ses peurs et de ses doutes, une étape à la fois en se construisant une activité de photographe freelance sur-mesure : un beau succès !
Cette année, elle a couvert 21 mariages. Et en a déjà 12 de programmés pour l’année prochaine. Le succès est tel qu’elle va même se permettre de limiter ces prestations à 15 par an, pour mieux concilier sa vie pro et perso.
Oser dire non
Il n’est pas toujours facile de se positionner auprès de clients potentiels, surtout quand on débute. Alice en a fait les frais.
On n’ose pas dire non. »
Par peur de manquer d’opportunités, elle accepte des projets qui ne collent pas forcément à ce qu’elle recherche. Et elle multiplie les missions. Une année surchargée qui l’a épuisée et qui lui faisait peu à peu perdre sa créativité.
Elle s’est donc posé les bonnes questions et a pris de l’assurance pour affirmer son style et ses choix. Depuis, elle sélectionne des clients qui ont la même vision qu’elle et diminue les missions pour profiter de son fils et de sa famille. Un équilibre important !
L’épanouissement personnel
Finalement, le seul regret d’Alice, c’est d’avoir attendu aussi longtemps avant d’oser se lancer et de réaliser son rêve.
Elle n’a pas « perdu » ses années, car elle a pu acquérir d’autres expériences à côté. Mais ce sont des années où elle n’a pas été épanouie dans ce qu’elle faisait.
C’est vraiment dommage de continuer à travailler dans des domaines qui ne nous comblent pas Quand on sait ce qui nous porte et ce qui nous fait vibrer, il faut essayer de tout mettre en oeuvre pour le vivre. »
Le fait d’avoir fondé une famille l’a également beaucoup aidée dans la création de son activité de freelance : elle s’est sentie soutenue et la naissance de son enfant lui a aussi donnée davantage confiance en elle.
Bref, l’épanouissement dans sa vie privée a aussi contribué à son succès. Mais le contraire est également vrai :
J’avais besoin de faire un travail qui me plaise, pour prendre soin de mes proches…c’est primordial ! J’apprends les bases à mon fils, je ne vais pas lui apprendre à faire un travail pour faire un travail, je voudrais qu’il fasse ce qu’il aime plus tard… »
Bien entendu, si tu es bien dans ton activité professionnelle, cela rejaillit sur ta vie privée et ton univers.
C’est pour ça qu’il est vraiment important de pouvoir choisir son métier, MAIS AUSSI ET SURTOUT d’avoir la possibilité de choisir des contrats qui sont en accord avec tes valeurs.
Quelles motivations pour être photographe de mariage et de famille ?
Alice a une attirance pour la capture des émotions et l’authenticité des liens humains et de l’amour qui s’en dégage.
C’est dans les familles et les couples amoureux que ces liens sont le plus palpables. Pour Alice, une journée de mariage, c’est très très riche en émotions : partage, rires, larmes, etc.
Il y a énormément de choses qui s’y passent. Et d’être là pour figer ces moments, pour immortaliser le plus beau jour des mariés…et c’est peut-être un des rares moments où la famille est réunie… »
On le confirme, Alice a une capacité incroyable à capter les émotions et à les retranscrire dans son travail. Son regard est incroyable. On t’invite d’ailleurs à aller visiter son site web ou son compte Instagram pour t’en rendre compte par toi-même !
Tu y découvriras également son travail de photographie underwater, tout simplement magique !
Instagram @alicegondelle
Site web : https://alicegondelle.com
Et toi, est-ce que tu es prêt à te lancer ?
Ne fais pas comme Alice, n’attends pas 7 ans pour oser te lancer !
La prochaine étape est de passer à l’action et de réaliser tes rêves !
Pour t’aider, télécharge ce guide qui t’apprendra à attirer des clients, à te démarquer et à te lancer :
Tu peux aussi rejoindre la liste d’attente pour la prochaine ouverture du Campus des Créateurs Nomades.
Le Campus est une formation en ligne et un accompagnement dédié aux créateurs (photographes, vidéastes, illustrateurs, développeurs, motion-designers, graphistes, etc.).
Tu peux retrouver le programme de cette formation dans cet article. Tu peux aussi contacter Alice si tu as des questions sur le métier de photographe ou sur la formation Créateurs Nomades.
Nous ouvrons les portes de la formation quelques fois par année, car le reste du temps, nous nous consacrons à nos élèves et à nos clients.
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